Rangée de Stormtroopers, célèbres gardes de l'Empire galactique, de chaque côté du tapis rouge du festival de Cannes. | ANNE-CHRISTINE POUJOULAT AFP
Effervescence sur la Croisette ce mardi soir à Cannes. L’équipe de « Solo : A Star Wars Story » a monté les marches du festival, à l’occasion de la diffusion du film, présenté hors compétition, une semaine après son avant-première à Hollywood.
Une rangée de Stormtroopers, célèbres gardes de l’Empire galactique, de chaque côté du tapis rouge du festival de Cannes, et le légendaire guerrier wookie Chewbacca au milieu : l’équipe de « Solo : A Star Wars Story », a monté les marches du Festival de Cannes mardi soir.
Aux côtés du réalisateur Ron Howard, l’acteur Alden Ehrenreich, interprète de Han Solo, Emilia Clarke (Daenerys Targaryen dans « Game of Thrones »), qui joue l’amie d’enfance de Han Solo Qi’ra, Donald Glover (dans le rôle de Lando Calrissian) ou Woody Harrelson (« No Country For Old Men ») ont posé pour les photographes, entourés des guerriers revêtus de l’uniforme et du casque blanc de combattant.
Joonas Suotamo, basketteur finlandais de 2,08 mètres qui interprète Chewbacca, le compagnon de route de Han Solo couvert de poils, était également présent, pour assister à la projection de gala de ce nouvel épisode dérivé de la saga.
Après une avant-première à Hollywood la semaine dernière, le spin-off de la saga consacré au contrebandier Han Solo, incarné jusqu’ici par Harrison Ford, était montré hors compétition.
Deuxième spin-off de la saga
L’intrigue de « Solo : A Star Wars Story » se situe avant l’épisode IV de la saga, sorti en premier en 1977. Ce deuxième spin-off - après « Rogue One » en 2016 - revient sur la jeunesse du pilote franc-tireur Han Solo allié à l’Alliance Rebelle.
Le Han Solo du film « contient les germes de celui que l’on connaît », a indiqué à l’AFP Ron Howard (« Willow », « Da Vinci Code »).
« Il n’est pas aussi cynique », a-t-il ajouté. Avec Qi’Ra, « ils vivent tous les deux dans une époque dominée par le crime organisé, très dangereuse et oppressante, donc cette aventure est une recherche de liberté, de connexion avec les autres, afin de pouvoir se sentir lui-même et se trouver », a-t-il ajouté. « C’est l’histoire d’un rite de passage ».
« Je pense que quand on fait sa connaissance dans ce film, c’est plutôt un idéaliste », a expliqué de son côté Alden Ehrenreich. « Et ce qui est notamment amusant dans le film, c’est de le suivre alors qu’il a toutes ces nouvelles expériences et aventures qui contribuent à le transformer en quelque sorte en l’homme que nous connaissons tous », a poursuivi l’acteur âgé de 28 ans.